Fiche Rpg Kyle <3

|1.|RENSEIGNEMENT GÉNÉRAUX\
|Nom: Dufour
|Prénom: Kyle
|Âge: 15 ans
|Sexe: Homme
|Orientation sexuelle: Peut se changer au besoin.
|Date de Naissance: 27 Juin 1995
|Origine: Humain (Québécois)

/|2.|DESCRIPTIONS\
>Description psychologique:

Je suis plutôt quelqu’un de réservé depuis ce jour là... Je ne rit plus et je n’ai plus de sourire. Par contre, se sont des choses que j’aimerais avoir. Ne plus avoir à paniquer à tout moment. Ne plus avoir peur que ce monstre me suive partout. Qu’il veut ma peau. Ne plus devoir m’inquiéter des autres qui m’entour. J’aimerais pouvoir vivre sans soucis. Vivre une vie normal quoi. Ne plus paraître pour un fou. Par contre, je doute que cette journée arrive un jour. Tant qu’il ne sera pas en enfer, je ne pourrai pas vivre en paix, mais encore. J’ai toujours mon iPod sur les oreilles Me disant que cela pourrais me protéger d’une certaine manière. En fait, pour mes défauts, j’en ai plein. Ma vie est un défauts. Tout se que je touche se détruit. Je ne parle à personne et ne répond à personne ayant peur de leur prendre leur vie. Ayant peur qu’il me connaisse ou qu’il ait de l’affection pour moi. Qu’il en apprenne trop sur moi. Je préfère être inconnu et ignorer par tous que d’être connu et d’avoir trop de gens connaissant ma vie.

>Goûts:

En gros, J’aime ma mère défunte et je déteste le tueur de cette personne qui m’était chère. Je n’ai pas vraiment de goûts en particulier. Je ne suis pas difficile et je mange se qu’il y a sur la table ><‘. J’aime bien la pluie puisque mes larmes si perde et que ça me représente. J’aime bien l’arbre du parc proche de chez moi.

>Descriptions physique:

Cheveux brun, yeux brun... Une merde quoi?! Habituellement, je suis vêtu d’une chemise carotter rouge et noir ou j’ai une chemise noir. Tout dépend de comment j’me sent... J’ai des jeans pis bah... C’est ça... Que dire d’autre sur mon physique... J’suis pas trop grand ni trop muscler... J’suis pas obèse. J’suis plutôt maigre en fin de compte... Hum... Autre chose... J’ai toujours le couteau de ma mère sur moi. J’ai des chaînes sur les ganses de mon pantalon. En gros c’est ça.

/|3.|HISTOIRE\

Je m’appelle Kyle. J’ai 15 ans aujourd’hui. Non, je ne parle pas anglais, je parle français et mes parents n’étaient pas anglophone. La plupart des gens me trouve appart des autres. C’est vrai, je ne parle à personne. Lorsque quelqu’un me parle, je le regarde un instant puis je regarde vers le sol. Que voulez-vous, les gens ne peuvent même pas savoir pourquoi je réagis ainsi. S’ils le sauraient, je me ferais bombarder de questions alors je préfère ne pas en parler. En fait, avant ce jour, je riais sens cesse avec des amis. Aujourd’hui, je suis seul, dans ma bulle. Je suis là, à penser de n’importe quoi, à avoir peur de le revoir. Je le revois me poser se flingue sur la tempe et me dire ces mots à l’oreille. Lorsque j’y repense, Je me dis que j’aurais jamais du arriver en retard de l’école. J’aurais peut-être pu la sauver, peut-être pu ne pas être là aujourd’hui. Être avec elle, dans ce monde que nous appelons paradis. Mais bon, j’ai du faire le con et ne pas être là à l’heure que je devais-y être. Tous se massacre est de ma faute et entièrement de la mienne. Bon… Pour que vous puissiez mieux comprendre, je vais vous dire se qui s’est vraiment passé cette journée là.

/Ce jour là, je fêtais mes 10 ans. Avant de me rendre à l’école, je me suis disputé avec ma mère. Une chose qui m’empêcha de lui dire pour une dernière fois que je l’aimais… Lorsque je suis arrivé à l’école, Je suis allé voir mon ami Vincent comme je le faisais tout les jours. Par contre, ce jour là, je suis arrivé un peu moins souriant qu’a l’habitude… Vincent m’a alors demandé ce qui n’allait pas. Je lui ais dit que je m’étais disputé avec ma mère et que je m’en voulais. Il m’a alors dit que ce soir, j’allais pouvoir lui dire que je m’excusais et que je l’aimais. J’ai réfléchie un moment et me suis dit que ce serais une bonne idée. Je me suis dit que je pourrais lui faire un petit cadeau aussi. Nous nous sommes alors mit à trouver une idée de cadeau pas long à faire.

-Tu pourrais lui faire une carte! Une jolie carte qui dit que tu l’aimes et que tu t’excuse!
-Ça serait une bonne idée! ^^’’ Je vais la commencer pendant les cours. En plus, nous avons un cours d’art plastique aujourd’hui.

La cloche a sonnée peu après. Nous nous sommes dirigés vers notre premier cours qui était un cours de français. Puisque j’étais à l’arrière de la classe, j’ai pu commencer à écrire le plan de ma carte. J’allais la faire rectangulaire, pour pouvoir écrire le plus de chose possible à l’intérieur. J’avais décidé de mettre des cœurs un peu partout puisqu’elle aimait bien cette forme. Sa couleur préférer était le rouge. J’ai alors décidé que j’allais utiliser du papier rouge. J’avais aussi décidé de mettre du rose pour l’amour, du blanc pour la paix et du mauve parce que je trouvais ça jolie avec ces couleurs. Je voulais vraiment me forcer pour qu’elle ais une carte à son image. Suivis le cours de mathématique. Pendant se cours, je n’ai pas pu continuer ma carte puisque j’étais en première rangée. Nous avons travaillés tout le long du cours, se qui était plutôt ennuyant. Ensuite, nous avons eu une récréation qui était bien mérité. Mon ami et moi sommes allés dans notre coin secret. Je lui ais montrer le plan de ma carte qu’il à trouver vraiment géniale. Ensuite, nous avons parlés d’un pue n’importe quoi, comme à l’habitude. Une quinzaine de minute à passer avant que la cloche ne sonne à nouveau. Nous avion enfin notre cours d’art plastique. Se cour que nous attendions pour mettre le plan de la carte finalement à exécution. Nous avons demandé l’avis de notre professeur, elle qui était excellente en arts. Elle nous a conseillés sur les couleurs. Elle nous a dit de ne pas mettre le mauve. Oui, c’est couleur allaient bien ensemble mais, cela faisait trop coloré. Elle nous a aussi dit que ça pourrait être beau de mettre des étoiles avec les cœurs. Après ses bons conseils, nous nous sommes mit au travail. Nous avons trouvé du papier rouge, blanc et rose. Vincent, qui était très bon en découpage a découpé les cœurs et les étoiles. Pendant ce temps, j’ai plié la feuille rouge en deux et commençai à écrire le texte.



Ensuite, Vincent et moi avons collés les cœurs et les étoile de couleur pour finaliser la carte. Il ne me restait plus qu’à faire le cadeau. Je voulais lui faire un bouquet de fleur et lui faire une couronne qui est digne d’une princesse. Enfin, l’heure du dîner est arrivé, Nous nous sommes alors ‘’enfuis’’ de l’école pour aller chez ma voisine. Elle habitait à coter de l’école tout comme moi et me laissait toujours prendre quelques de ses fleures. Nous sommes allés chez elle pour lui demander de prendre quelques des ses fleures. Lorsqu’elle nous à ouvert, elle ma demandé pourquoi nous n’étions pas à l’école. Nous lui avons dit que nous voulions faire une couronne de fleure pour ma mère. Elle nous à ouvert et nous sommes rentré chez elle. Elle devait avoir milles ans tellement elle était ridée. Elle devait ne jamais avoir eue de petits enfants puisqu’elle nous gâtait comme si nous étions les siens. Elle nous à donnée un petit dîner digne d’un roi et nous avons finis par un bon verre de lait avec des biscuits qu’elle venait de faire. Ensuite, elle nous à emmener dans sa cours pour voir toute les sortes de fleures qu’elle avait. Elle avait des roses et beaucoup d’autres fleurs. Mais, elle savait que mes fleurs préférer était les rose. J’ai alors choisie les fleure que je voulais : les roses rouges, blanches et roses. Elle ma dit de repasser se soir, en revenant de l’école pour ne pas que les fleurs soient fané lorsque j’allais les donner à ma mère. Nous l’avons écoutée et nous sommes repartis à l’école pour ne pas arriver en retard pour notre prochain cours. Nous sommes arrivés juste à temps. Nous sommes arrivés deux minutes avant que la cloche n’est sonnée. Le restant de la journée, nous avons suivis nos cours normalement. Après l’école, Vincent à pris l’autobus puisqu’il habitait à une quinzaine de minutes de chez moi. Je me rendis chez ma voisine pour y aller chercher mes fleurs. Lorsque je suis arrivé, elle me donna, encore une fois, un verre de lait et un biscuit. Ensuite, nous nous somme rendue dans sa cour et elle coupa les fleurs. Je me suis assis sur son gazon pour commencer ma courone. J’enlevai les aiguilles pour ne pas que ma mère ne se pique avec celles-ci. Par la suite, je les assemblai. J’avais placé la plus grosse des roses rouge au centre comme pour faire le plus gros diamant d’une couronne de princesse. Finalement, je plaçai en alternance les roses rose et blanche. Cela faisait 30 minutes que je devais être rentré. Je me précipitai pour dire au revoir à ma voisine pour me diriger chez moi. Je marchai la carte à la main droite et la couronne à la main gauche pour lui donner en arrivant. En marchant, j’entendis 3 coups de feu. Cela ne m’a pas beaucoup dérangé puisqu’il y avait souvent des jeunes qui s’amusaient à tirer des coups de pétards. Je me rendis, le sourire aux lèves jusqu’à chez moi. J’avais très hâte de voir ma mère et de lui dire que je l’aimais. Par contre, je n’ai pas eu le temps. En arrivant, j’ai pris ma clef et débarrai ma porte. En ouvrant la porte, je remarquer que la maison empestait l’alcool. Mon père buvait acer pour se saouler. Cette journée là, il s’était saoulé plus que les autres jours. Il à perdue les pédales. Tout se que j’ai vue en entrant, c’est ma mère baignant dans son sang et mon père, le flingue à la main. Il me regarda d’un regard psychopathe et s’approcha de moi. Mes mains tremblaient mais les larmes ne coulaient pas. Il posa le flingue encore brulant sur ma tempe et approcha sa bouche de mon oreille.

-Un jour, ce sera toi qui seras là, baignant dans ton sang. Tu mourras de se flingue, mais pas aujourd’hui. Aujourd’hui, tu vas souffrir, te disant que tu aurais pu sauver cette pute. Que tu aurais pu me tuer mais que tu étais trop effrayer pour le faire. Tu vivras avec la peur que j’arrive pour te tuer.

Il s’approcha des policiers qui étaient dehors. Je m’effondrai sur le sol. La carte et la couronne baignant dans le sang de ma mère. Je m’évanouis. Lorsque je repris conscience, j’étais couché sur un lit d’hôpital. Mon ami était là, me regardant terrifier. Il avait appris se qui c’était produit chez moi ce jour-là. Un policier s’approcha de moi et me demanda s’il pouvait me poser quelques questions au sujet de se qui venait de se produire. Je le regardai, l’aire de me dire qu’il ne pouvait pas me laisser seule un moment. Je devais au moins recommencé à y voir clair, mais non, il attendait ma réponse. Sens trop savoir pourquoi, une larme se mit à couler sur ma joue. J’avais mal à la gorge. Je détournai mon regard du policier pour regarder mon ami. Celui-ci me regardait comme si je devais le faire. Il avait les larmes aux yeux tout comme moi. Je me retournai alors vers celui qui m’avait posé la question.

-Monsieur, vous pouvez sortir un moment s’il vous plait?
-Oui…

Il attendit un moment pour savoir si j’allais parler. J’avais les mains croisées comme si je donnais un câlin à quelqu’un ou comme si je serrais quelque chose contre mon cœur. Je regardais ma couverture avec un regard terrifier. Le policier, lui, me regardais d’un air presque normal. Je pouvais voir dans ces yeux un peu de sympathie mais il ne pouvait tout simplement pas comprendre se que je ressentais.

-Je sais que ce n’est peut-être pas le moment, mais j’aimerais savoir si tu sais se qui c’est passé.
-Vous voulez que je vous dise se que j’ai vu. J’ai vu ma mère qui baignait dans son sang. J’ai vu mon père le flingue à la main. J’ai vu se sang, le sang de ma mère sur lui. C’est ce que j’ai vu. C’est la dernière chose que j’ai vu de ma mère.

Mes larmes coulaient, enfin. J’avais toujours se regard terrifier. Lui, il me regardait et prenait des notes sur se que je lui disais. Il me regardait, mais lui, il voulait simplement finir son enquête. Il ne se souciait pas de moi ou de ce que je pouvais ressentir. Il ne voulait même pas m’aider, il voulait seulement enquêter sur ce meurtre. Voilà se qu’il voulait vraiment.

-Je suis désoler, mais nous avons vu votre père…
-En plus, vous dites que c’est mon père. Celui qui à tuer ma mère n’est plus mon père. Vous ne comprenez vraiment rien à rien…
-Ne me parlez pas ainsi, je veux simplement vous aidez.
-M’aider! Vous voulez vraiment m’aider ou simplement résoudre une enquête de plus? Si vous vouliez vraiment m’aider, vous m’auriez laissé le temps de revoir mes idées clair. Vous vous seriez mit dans ma peau simplement une seconde et vous seriez partis. Parce qu’en fait, vous avez tout vu. Il est venu vers vous après m’avoir posé ce flingue sur la tempe. Voilà, fin de l’enquête.

Je me suis mis sur le coter opposer de se con pour pouvoir pleurer seul. Je me sentais tellement seul. J’étais là tandis que ma mère n’y était pas. Si elle serait là, elle l’aurait giflé et serait venue me réconforter. Mais, elle n’est plus là, c’est ça le problème. Le policier est resté là un moment, pensant que j’allais me mettre à parler sans arrêt. En d’autre mot, à me confier à lui. Il est finalement partit puisqu’il voyait bien qu’il n’avait rien à faire. Moi, je suis resté là, à pleurer, seul au monde./