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 |  Sujet: Présentation du Maître  Mer 18 Aoû - 21:06 | |
| /|Renseignements généraux\|Pseudo: The Master, le Maître...comme vous voulez |Origine de votre pseudo: La série Doctor Who |Ville: Papeete |Passe-temps et intérêts: Rp, Théâtre, aller à la conquête du monde. /|Du point de vue Rp\|Depuis combien de temps faites-vous du Rp? Aucune idée....3 ans il me semble |Indice Niveau: Voici des rp's dans lequel je ne m'applique pas vraiment, je les fait par plaisir: - Spoiler:
David Tennant était connu et apprécié pour être un clown qui passait le plus claire de son temps à faire le pitre, que se soit avec ses amis, sur son lieu de travail (ou ses lieux de travail plutôt) ou même aux diverses conventions ou il se devait régulièrement se rendre. Son sens de l’humour et sa bonne humeur constante (en tout cas c’est ce qu’il souhaitait afficher le plus souvent possible) était légendaire, le britannique voulait toujours se montrer sous son meilleur jour, qui était par la même occasion sa véritable personnalité et non une qu’il c’était forgée. Combiens de fois l’avait-on hélé sous le surnom d’antidépresseur (le premier à l’avoir appelé de la sorte était d’ailleurs le chouchou d’un certain Mr Burton...Hum, il l'avait surnommé plus précisément Zoloft). Si des paparazzis s’étaient trouvés dans le coin ils auraient été bien contents d’avoir des photos d’un David désemparé et au bord de la crise de nerf (ou de larme) comme la fois ou il avait été la cible d’une critique peu sympathique. Mais réflexion faite, si les photographes que l’écossais arrivait si bien à éviter (tout un art) c’étaient trouvés dans le coin, le jeune homme se serait surement jeté sur eux pour mendier de l’aide promettant n’importe quelle récompense en échange.
Mais ce n’était pas le cas et Dave était désespérément seul. Il y avait bien Ginger qui se trouvait au 105, mais elle n’était pas plus au courant de ce qui se passait que lui, et ça n’aidait pas énormément.
On ne pouvait pas dire que l’ex-doctor avait passé une très bonne nuit, au contraire. Il avait passé son temps à stressé pour chacune de ses connaissances, se demandant si son absence avait été remarqué…Probablement oui. Il avait ensuite commencé à délirer sur des « et si on l’avait remplacé par un androïde et que personne ne s’apercevrait jamais de son absence » avant de finalement s’endormir, fatigué par la journée qu’il avait passé.
En attendant le britannique se retrouvait dans une rue déserte, dans une ville déserte (au premier coup d’œil) à courir après …après il ne savait quoi. Des réponses oui, mais encore ? L’acteur s’adossa contre un mur et se laissa glisser contre celui-ci, accroupit sur le trottoir. Effectivement, c’était dégelasse par terre, mais ce n’était pas vraiment ce à quoi faisait attention David, pas le temps de faire sa chochotte. L’écossais se passa la main dans les cheveux, les tripotant nerveusement (voilà qui n’allait pas les arranger). Peut être valait-il mieux qu’il fasse demi tour et retourne voir Lily dans l’immeuble et qu’ils attendent que les choses de passent, ou qu’ils meurent de faim… Ou alors, ils volaient une voiture, vérifiait si il n’y avait pas d’autres personnes dans leur cas, partaient d’ici le plus rapidement possible et trouvait un moyen de retourner sur leur île, quitte à traverser la manche à la nage. Non, c’était un plan complètement stupide, mais David n’avait pas envie d’attendre les bras croisés alors autant faire ça en attendant d’avoir quelque chose de plus construit et plus intelligent. L’acteur se releva et après avoir rapidement et vaguement épousseté son jean il allait reprendre sa route hasardeuse… avant de se rendre compte qu’il n’avait strictement aucune idée de l’endroit ou il se trouvait, que les rues pavées se ressemblaient toutes et qu’il allait probablement se perdre. Bha, tant pis, il n’était pas à ça près. Et de toute manière il n’avait ni pain ni cailloux à semer derrière lui donc autant y aller tête baissée.
Mains dans les poches de son blouson et muscles contractés à cause du vent froid qui balayait la ville, le comédien reprit sa marche d’un pas vif avant de se stopper net. A moins que ses oreilles ne lui jouent des tours, ou que le vent ai apprit récemment à parler, quelqu’un venait d’appeler à l’aide. Sourcils froncés le pseudo Hamlet fit un ou deux tours sur lui-même pour localiser la personne en détresse, du moins la direction approximative. Les mains en porte voix, il répondit s’égosillant (et remerciant la Royal Shakespeare Company de ne pas leur avoir donné des micros pour faire face aux spectateurs, ainsi que toutes ses années ou il avait fait du théâtre (depuis ses 11 ans pour être exacte) et apprit à se servir correctement de sa voix). L’ancien Doctor ne cessait de répéter qu’il arrivait, qu’il allait les aider (d’après ce qu’il avait comprit, ils étaient plusieurs), de ne pas bouger et que tout allait bien. Oui, c’était un très gros mensonge mais il se voulait rassurant et on ne pouvait plus rassurant que cette phrase. Oui, au contraire, quand on vous dit cela c’est que généralement tout ne vas pas bien et que vous courez à la catastrophe, mais passons ce léger détail .
L’écossais se mit à courir comme un dingue pour trouver la source des cris (donc des personnes qui attendaient de l’aide), bénissant le ciel de lui avoir donné des jambes de cette taille pour pouvoir courir aussi rapidement. David ne savait absolument pas si il pourrait les aider, car si ces anglophones (il doutait de plus en plus sur la Tour Eiffel qu’il avait aperçut en face de sa fenêtre) était dans le même problème que lui…
Petit break s’il vous plait (oui, car même si cela se passe rapidement, il n’y a rien de bien intéressant à dire sur les recherches du comédien), car vous pourriez vous dire que David avait de suite reconnut la voix de sa moitié (du moins jusqu’à maintenant et jusqu’à ce qu’on lui prouve le contraire), mais ce serait bien sur un énorme mensonge. Certes, et heureusement pour lui car cela en va de sa carrière, l’écossais à une bonne mémoire mais avouons qu’il n’est pas très aisé de reconnaître la voix de quelqu’un, aussi proche soit-il, surtout quand ce quelqu’un en question n’est pas non plus juste à côté et hurle aussi fort que le lui permette ses poumons. Eh oui, David n’avait jamais entendu Georgia hurler de la sorte (et heureusement d’ailleurs, car il y aura sinon de quoi s’inquiéter) et n’avait donc pas identifié la petite britannique. Fin de la pause, revenons en à notre histoire.
Lorsqu’il vit enfin la silhouette d'un adolescent, et celle d’un enfant (ou d’un nain, n’écartons aucunes hypothèses possible) à plusieurs mètres de lui, l’acteur se jeta à leur rencontre en hurlant qu’il était là (on ne savait jamais, ils étaient peut être myopes). Mais lorsqu’il reconnut sa Georgia et le fils de l’actrice, cela lui fit l’effet d’une douche glacée (non, mauvais exemple…Pas qu’il fut mécontent, mais surtout très surpris). Il s’arrêta à quelques mètres d’eux, et la fin de sa phrase se perdit en une espèce de gargouillis dans le fond de sa gorge. Un « Georgia ? » pleins de stupeur dont la fin du prénom de la miss grimpa à une vitesse folle dans les aigus (si son esprit n’avait pas été focalisé sur autre chose, il aurait très certainement fait le rapprochement avec un adolescent dont la voix mue). David répéta le prénom de la petite blonde qui lui faisait face, mais cette fois avec un sourire on ne pouvait plus vrai et soulagé qui avait fait place à l’expression incrédule qu’il avait sur le visage deux secondes plus tôt.
Après avoir rétrécie la distance qui les séparait (à une vitesse incroyablement rapide), l’écossais attrapa l’anglaise par les épaules avant de la serrer dans ses bras semblant se soucier peu de l’étouffer. Il ne cessait de répéter que c’était impossible, qu’il n’avait pas cessé de penser à elle, qu’elle lui avait manqué et qu’à présent tout allait bien. Pas très original tout ça, mais il avait tellement de choses à dire à la jeune femme. Il n’avait pas envie de la lâcher de peur de la perde à nouveau (bien grand mot puisque en réalité cela faisait simplement deux jours qu’il ne l’avait pas vue). Mais l’ex-Doctor finit par desserrer son étreinte sans pour autant lacher les épaules de Georgia.
-Qu’est-ce que vous faites ici, vous devriez être à Londres… ?!
Techniquement lui aussi devait être à Londres. Enfin non, il aurait du se trouver dans l’aéroport, prêt à se rendre en Ecosse pour tourner une partie de Single Father, avec toute l'équipe et sa camarade de plateau (c'était la troisième fois qu'ils se retrouvaient dans le même film. La première étant dans Blackpool ou ils avaient tissé une grande amitié (difficile de faire autrement avec l'actrice complétement déjantée) la seconde dans Doctor Who, et maintant). Afin d’éviter de broyer les bras de sa petite amie, David lâcha Georgia et se passa la main dans les cheveux, les yeux exorbités. Il ne savait pas si il délirait encore ou pas. Il se tourna finalement vers le petit garçon de 8 ans et s’exclama : « Tyler ! » (Tu vois, je n’ai pas oublié ton prénom !) Avant de le prendre à son tour dans ses bras. David avait complètement zappé son histoire de voiture, et même Lily.
J'ai écris celui-ci quand j'étais en Nouvelle-Zélande, la raison du manque d'accents (je n'avais pas terminé de le corriger): - Spoiler:
Viviane lui assura qu'elle n'était pas comme lui. Le Seigneur du temps la regarda avec intérêt. Non, bien sur qu'elle n'était pas comme lui. Ceux de son peuple étaient prisonniers et mênaient une guerre sans fin quant à l'avant-dernier Seigneur du Temps était mort dans ses bras. Le Docteur avait brûlé son corps il y avait maintenant quelques années. Viviane lui assura aussi qu'elle n'était pas une fan. Pas comme il l'entendait... C'est à dire? L'alien ne connaissait pas un nombre énorme de définitions de 'fan'. Et apparement la jeune femme ne se prenait pas -elle non plus- pour n'importe qui. Elle c'était redressee sur sa chaise et semblait attendre plus ou moins des excuses de la part de l'extraterrestre sur sa meprise. Le Docteur se contenta de la fixer, betement. Prenant une aspiration et ouvrant la bouche pour répondre quelque chose, il fut coupé par la petite blonde qui semblait avoir passé un coup d'éponge sur l'erreur (sur laquelle il n'arrivait pas a mettre le doigt dessus) et reprit lui proposant du Chouchenn et lui soufflant par la meme occasion qu'elle savait qui il était, ou plutot, ce qu'il était. Le Docteur se fichait pas mal de la boisson que lui tendit Viviane, la fixant d'un air concentré, et sans écouter la suite des paroles de Viviane. Ce n'était pas la premiere fois que ce genre de choses arrivaient. L'alien avait a plusieurs reprises été abordé par des personnes le connaissant et lui non. Sally Sparrow par exemple, ou encore River Song (qu'il n'avait pas revu depuis sa 'mort' dans la bibliotheque). Le Seigneur du Temps soupira et se pencha légerement sur la table:
-Ecoutez, apparement vous me connaissez. Vous devez donc savoir que ma vie est assez complique. Vous devez aussi etre au courant que je peut voyager dans l'espace et dans le temps. Donc vous m'avez rencontre, mais moi pas. Donc je ne sais absolument pas qui vous etiez pour moi, ni rien. Je suis vraiment d...Une fois de plus le Docteur s'interrompit, avant de demander dans une petite grimace et 'le truc de la voix', c'est a dire grimpant dans les aigues et pointant d'un doigt le verre que lui avait gentiement propose de partager son interlocutrice. 'Vous venez de dire chouchenn?'
Le chouchenn etait une boisson jadis tres populaire en Bretagne (elle l'etait d'ailleurs surement encore). Et Vivian et Bretagne, cela fesait deux grosses coincidences. Et pour l'alien, deux coincidences c'etait une concordonance. Il resta donc dans un blocage silencieux, avant de s'exclamer avec une grand sourire:
-Vivian? Vous voulez dire LA Viviane? La Dame du Lac, Niniane, Nimue? Viviane, la seule qui voit derrière l'Enchanteur l'être humain, la seule qu'il aime et qui l'aimera pour ce qu'il est?! Celle qui enleva Lancelot a sa mere? Un brave gamin ce Lancelot, quoi qu'un peu inconscient...Mais bref. Le Docteur s'arreta, un air hilare sur la visage. Vous voulez rire? Mais il se souvenait bien de sa rencontre, maintenant, avec elle. La premiere fois que je vous ai vue vous etiez grande comme ca. La main en l'air, il indiqua assez vaguement la taille d'un nain a qui on aurait, au moins, coupe les jambes. Mais la sourire de l'extraterrestre s'effaca aussitot, il leva legerement la tete, la bouche en 'o'. Nononononon...La premiere fois que je vous ai vue, vous etiez comme maintenant.
Oui, la premiere rencontre avec la Dame du Lake remontait maintenant a bien longtemps -pour lui en tout cas. Il n'avait pas cette tete, non. C'etait il y avait au moins...Cinq regenerations. La jeune femme etait venu pour le remercier a pour avoir aider Lancelot a se battre contre ce qu'il croyait etre un dragon... C'etait d'ailleurs bien un dragon, mais pas comme il l'entendait. C'etait un alien qui avait debarque avec l'intention de bruler vif une grande partie de la region. Et le jeune chevalier c'etait elance pour le tuer. Sur le coup, l'alien avait ete tente de dire que le courage des idiots etaient tout de meme du courage. Mais a la place il avait aide le fils de Vivian qui avait fait une apparition eclaire pour le remercier, et avait faillit lui faire arreter ses coeurs.
La seconde fois, c'etait peu apres sa premiere rencontre avec la mariee qui avait atterit dans son Tardis, Donna. Il y avait dans le petit chateau du pere de la jeune femme des Krynoids, l'alien avait donc trouve une excuse pour s'installer dans la demeure de Vivian pour une nuit, le temps de renvoyer les extraterrestres qui menacaient la tranquillite de la Bretagne. Et comme d'habitude, il y avait eut une femme pour l'aider. Ou plutot une fille. A l'epoque Viviane ne devait pas avoir treize ans mais le Docteur n'avait pas refuse l'aide de l'enfant. Celle-ci lui avait parle (deja a l'epoque elle etait bavarde) a quelques reprise d'un certain Merlin, et le Docteur avait tilte a qui il avait eut affaire bien longtemps apres, alors qu'il etait deja partit vers de nouvelles epoques a visiter.
Et voila que maintenant il la revoyait...Le Docteur n'avait aucune idee du temps qui c'etait ecoule pour Viviane, mais ca devait faire pas mal d'annees. Pourtant elle ne semblait pas en souffrir. Mais cela voulait dire qu'elle n'etait pas de ce monde, et venait des etoiles.
-Pourquoi vous ne m'avez pas dit que vous n'etiez pas humaine? Je me doutait bien que le mythe de la Fee Viviane -ou encore de Merlin- n'avait pas ete fonde sur rien.
Maintenant le tout etait de savoir de quelle espece elle etait. Car jamais le Docteur n'aurait imagine que des fees puissent reelement exister. La magie n'etait qu'un concepte invente par les humains pour expliauer ce qu'ils ne comprenaient justement pas. Et a l'epoque de Viviane, ce qu'ils ne comprenaient pas devait bien remplire plusieurs volumes...Voir une bibliotheque entiere (mais la remarque etait toujours valable maintenant).
Et un fait vraiment vite fait bien fait, que je n'aime pas trop d'ailleurs (je crois que c'est le rp le plus récent que j'ai fais): - Spoiler:
Harold ne trouvait rien de franchement nouveau à propos de Lowrey, par contre, il découvrit pas mal de choses plus ou moins intéressante à propos de différentes affaires qui s’étaient déroulées dans tout Gotham (et il y en avait un paquet) ainsi que quelques découvertes à propos de Michael qui avait décidément une vie bien palpitante d’après ce qu’il pouvait lire... Mouais.
L’agent du FBI se maudissait sur le fait qu’il ai oublié de prendre ses lunettes; ce qui arrivait très souvent. Il commençait à avoir les yeux qui fatiguaient et un mal de tête à force de passer son temps concentré sur l'écran qui lui faisait face. De toute manière, il fut interrompu dans son 'travail' par un gai luron. Au début Harold émit la possibilité que se soit le certain Michael (il n'avait cependant pas bougé d'un pouce, et ni fait mince de fermer les dossiers qu'il avait ouvert) mais non... Sauf si celui-ci parlait de lui à la troisième personne ce qui n’était pas une possibilité à exclure, vue tout les tarés qu’on pouvait rencontrer et particulièrement à Gotham. D’ailleurs, le type fut coupé en plein élan, et se retrouva tout surpris de ne pas se être face à son petit camarade Mike. Il demanda à Harold de décliner son identité. Relevant la tête de l’écran et se redressant un peu sur sa chaise pour fixer le type, tout en prenant un air suffisant, il répondit, sourire sarcastique en coin :
- Eh bien je ne suis pas Michael, mais ça vous l’aviez remarqué tout seul comme un grand apparemment. Et comme vous ne voulez pas savoir ce que je ne suis pas, mais ce que je suis…
Harold s’arrêta là afin de ne pas s’embrouiller lui-même et jeta de manière désinvolte son badge au type face à lui pour se replonger derrière l’ordinateur après s'être fait craquer les doigts. Il avait espéré que voir qu’il était du FBI aurait suffit à Mr X pour partir, mais non. Avec la grâce d’un piquet il resta planté face à lui.
Mais cela ne lui suffisait pas. Il engagea donc de nouveau la conversation, et une seconde fois Harold s’arrêta dans son travail pour s’assoir au fond du fauteuil. Doigts croisés, il regarda avec intérêt (et un visage un peu blasé aussi) le gars face à lui. C’était quoi son problème ? Il n’avait pas d’amis ? Alors il fallait qu’il papote avec le premier venu pour commencer à faire copain-copain ? Y'avait pas assez de sites comme Meetic ou twitter? Eh bien soit. Harold n’allait pas renvoyer bouler ce pauvre bougre. C’est pourquoi il répondit d'un sourire hypocrite:
- Je suis en train d’écrire mon autobiographie, si vous voulez vous pourrez l’acheter lorsque elle sortira dans votre libraire. Normalement au chapitre IV vous devriez avoir la réponse à votre question.
Harold marqua une très courte pause, son portable vibrait dans sa poche depuis plusieurs minutes déjà. D'un signe de tête il indiqua au gars de patienter 'Excusez moi'. Il sortit son téléphone le fit coulisser et le porta à son oreille s'exclamant sans laisser à la personne à l'autre bout du fil le temps de s'exprimer:
-Jésus Christ votre Sauveur à l'appareil, comment puis-je vous aider, mon enfant ?
Il écouta ce que lui dit la personne qui venait de le déranger avant de glisser son portable à sa place initiale, dans la poche de son jean et de fixer sourcils froncé l'intrus (bien que d'un point de vue technique l'intrus c'était bel et bien lui):
-Faux numéro...Alors, où en étions nous déjà? Ah oui! Il reprit donc, avec un sourire plus franc: Non je plaisantais bien sûr... En fait je discute sur le mur facebook d’un ami qui est aussi agent au FBI et nous fixons la date pour prendre le thé ensemble. Après je comptais passer un coup d’aspirateur ici puisque je n’ai que ça à faire. Et vous ?
Se moquer ouvertement des gens était un des sports favoris du britannique et il était très fort. Pour montrer que cette fois la conversation était terminée, il se pencha une fois de plus derrière l'écran de l'ordinateur sans prêter plus attention au policier (ou technicien de surface, qui sait?).
|Avez vous lu les règlements? "lu et acceptés" /|Si tu étais... (totalement facultatif) |Un animal: Une autruche |Un végétal: Des ortie |Un plat cuisiné: Hamburger |Un légume: Salade |Une boisson: Milk-shake saveur banane |Un objet du quotidien: un tournevis |Un livre: Le manuel de pilotage du TARDIS |Une série télé: Doctor Who |Un film: St Trinian's |Un acteur: David John Macdonald |Un groupe de musique: the Proclaimers
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Chibi
x-Admin Graph' Chibi Totalement Sadique-x
Messages : 196
Date d'inscription : 24/01/2010
Age : 28
Localisation : Muhuhu~ Sur Terre... Enfin, la plupart du temps.
Autre Info'
Défis en cours/ à venir:
Défis accomplis :
| | Sujet: Re: Présentation du Maître Sam 21 Aoû - 9:29 | |
| Biiiiieeeenvenuuuue.
Désolé pour l'attente, surtout que j'ai rien pour le justifier puisque je suis déjà passée. --' Mais bon, j'suis la seule Admin qui donne signe de vie donc, ouais, juste mon avis ça va faire.
Pour ton niveau, c'est super bien écrit mais j'ai remarqué quelques fautes et certains de tes paragraphes sont trop courts et ça fait des trous dans ton post. Meuh bon, ça ne change en rien mon avis, petit chou (surement plus vieux que moi =X) J'te mets Dieu Grecque parce que t'écris vachement bien! :) | |
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